Pour une défense du journalisme d’investigation environnemental en France : le cas "Vert de Rage"
Pétitions citoyennes
Changements sur "Pour une défense du journalisme d’investigation environnemental en France : le cas "Vert de Rage""
Description (Français)
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France Télévisions a décidé de mettre un terme à la série documentaire « Vert de rage » qui depuis 2018 mettait en lumière les grands scandales environnementaux.
En moins de six ans d’existence, « Vert de rage » a créé 14 numéros de journalisme d’investigation, dont 6 associés à des enquêtes encore en cours. Des perquisitions ont notamment eu lieu sur plusieurs sites de l'industriel Arkema au sud de Lyon, menées dans le cadre d'une information judiciaire pour « mise en danger d'autrui » suite à l'épisode « Lyon : alerte aux polluants éternels ».
Les documentaires ont réuni plusieurs centaines de milliers de téléspectateurs (entre 250 000 et 600 000 selon les épisodes). « Vert de rage » illustre ainsi comment le journalisme d’investigation peut avoir un impact écologique majeur.
Sous prétexte de changement de présentateur et de désynchronisation des épisodes avec les résultats d'enquêtes (la révélation des résultats avant l'épisode impacterait les audiences), France Télévisions décide aujourd’hui de mettre fin à la série.
Après la fermeture en décembre 2023 de son média NOWU, spécialisé sur les questions écologiques, on peut se questionner sur la cohérence de ces choix avec les engagements environnementaux pris par le groupe audiovisuel en 2022.
La décision est également incohérente avec les besoins criants qu’a la population d’être bien informée sur les enjeux environnementaux, en particulier dans un contexte de désinformation de plus en en plus prégnant.
L’accès à une information de qualité, en plus d’être une liberté constitutionnelle, est essentielle pour une vie démocratique saine. À l’heure actuelle, supprimer une telle source d’information est irrationnelle.Par cette pétition, nous nous opposons à l’annulation de ce programme et nous montrons aux instances décisionnelles de France Télévisions que les collectifs citoyens soutiennent le travail mené par les journalistes d’investigation.
QuotaClimat
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France Télévisions a décidé de mettre un terme à la série documentaire « Vert de rage » qui depuis 2018 mettait en lumière les grands scandales environnementaux.
En moins de six ans d’existence, « Vert de rage » a créé 14 numéros de journalisme d’investigation, dont 6 associés à des enquêtes encore en cours. Des perquisitions ont notamment eu lieu sur plusieurs sites de l'industriel Arkema au sud de Lyon, menées dans le cadre d'une information judiciaire pour « mise en danger d'autrui » suite à l'épisode « Lyon : alerte aux polluants éternels ».
Les documentaires ont réuni plusieurs centaines de milliers de téléspectateurs (entre 250 000 et 600 000 selon les épisodes). « Vert de rage » illustre ainsi comment le journalisme d’investigation peut avoir un impact écologique majeur.
Sous prétexte de changement de présentateur et de désynchronisation des épisodes avec les résultats d'enquêtes (la révélation des résultats avant l'épisode impacterait les audiences), France Télévisions décide aujourd’hui de mettre fin à la série.
Après la fermeture en décembre 2023 de son média NOWU, spécialisé sur les questions écologiques, on peut se questionner sur la cohérence de ces choix avec les engagements environnementaux pris par le groupe audiovisuel en 2022.
La décision est également incohérente avec les besoins criants qu’a la population d’être bien informée sur les enjeux environnementaux, en particulier dans un contexte de désinformation de plus en en plus prégnant.
L’accès à une information de qualité, en plus d’être une liberté constitutionnelle, est essentielle pour une vie démocratique saine. À l’heure actuelle, supprimer une telle source d’information est irrationnelle.Par cette pétition, nous nous opposons à l’annulation de ce programme et nous montrons aux instances décisionnelles de France Télévisions que les collectifs citoyens soutiennent le travail mené par les journalistes d’investigation.
QuotaClimat